Transformations du paysage
Transformations du paysage à Chevrier, Dingy et Vulbens
PLAN de mon article paru dans les Echos Saléviens n°6, année 1997
Aux temps romains : une plaine densément bâtie
Gaulois : l’oppidum du Vuache, le nant de la Vosogne, Jurens.
Romains : le mur de César, un temple ?, les chemins vers Cologny, les constructions
Entre le IIIe et le Xe siècle, bouleversement du paysage
L’humidité des sols de la plaine
Quelques noms de lieux. D’où vient le nom «Vuache» ?
Les villages se réfugient en hauteur.
La fixation des limites paroissiales
Du XIe au XVe siècle, une économie céréalo-forestière
les nouvelles zones d’habitat et de culture
L’habitat se trouve désormais au pied du mont.
Au XIe siècle les seigneurs défrichent la forêt de la plaine.
Céréales et forêts pendant la 1ère moitié du XIVe siecle
Les paysans drainent et défrichent.
Une agriculture céréalière.
Prés et fruits ; à quoi ressemblent les parcelles ?
L’extension des surfaces cultivées.
Les forêts nourricières.
Affouage, charbonnage, pâturage.
Les villages, les treilles, les cimetières.
Les chemins.
La peste de 1348
Du XVe au XVIIIe siècle, les notables tentent de transformer le paysage
Les notables créent de grandes parcelles
Ils construisent des bâtiments d’exploitation
Seuls, ils ont un troupeau important et des prés
Ils améliorent les chemins
La forêt devient l’enjeu d’une lutte des classes
Les notables améliorent leur demeure
Les paysans transforment peu le paysage
Les villages.
Beaucoup de petites parcelles.
La tyrannie des blés.
Des vaches sans prés.
La déforestation
A quoi servent les haies ?
L’aspect des villages.
Aux XIXe et XX siècles, les prés et les forêts avancent
Les fruitières et les pâturages
Les céréales reculent en surface et augmentent en rendement.
La vigne et les arbres fruitiers
Des forêts envahissantes
Les villages s’étendent et s’équipent.
Les chemins s’améliorent.